Pourquoi demander une autopsie après le décès d’une personne vaccinée avec un « vaccin » à ARN messager anti-COVID-19 ?

Quels examens réclamer afin d’établir le lien de causalité entre l’injection et le décès ?

Quels examens autopsiques réclamer dans le cas où le vaccin anti-Covid-19 serait suspect d’avoir causé le décès ? Le document ci-dessous reprend le protocole d’une équipe allemande de pathologistes et a été complété par d’autres sources de la littérature scientifique.

Résumé

Le mécanisme des effets indésirables des vaccins ARNm est rappelé ainsi que les pathologies associées. Vu la nature complètement nouvelle des vaccins ARNm, il n’y a aucune raison de limiter dans le temps la possibilité d’imputation d’un lien de causalité entre l’injection et un effet indésirable. De même il ne faut pas limiter la recherche des pathologies induites par le vaccin aux signaux reconnus par la pharmacovigilance car les vaccins ARNm représentent une technologie nouvelle aux conséquences inconnues et des médecins notent une augmentation des cancers et des infections chez les vaccinés.

Le document ci-dessous reprend le protocole d’une équipe allemande de pathologistes et a été complété par d’autres sources de la littérature scientifique.

Les points essentiels sont la recherche d’événements thrombo-emboliques (tant au niveau macroscopique que microscopique) de vascularite et de myocardite, de réactions inflammatoires particulières (réactions auto-immunes ?) et de matières étrangères (lipides des particules nanolipidiques vectrices du vaccin par exemple ou impuretés métalliques ou autres).

Outre l’examen du corps et de tous les organes, des prélèvements de tissus et de sang seront effectués : examens microscopiques, d’histochimie, recherche d’ARNm vaccinal ou de spike produite par le vacciné suite au vaccin (dans les tissus enflammés et nécrosés).

En cas d’atteinte du cerveau, la détection de l’ARNm dans le cerveau (en dehors de toute infection virale au SARS-CoV-2 documentée) signera la présence d’ARNm vaccinal.

En cas de thrombose, il faudra rechercher la présence massive de plaquettes ainsi que les facteurs moléculaires de la coagulation (facteur anti-plaquettaire 4, facteur von Willebrand, facteur VIII). Lorsque la thrombose est associée à une thrompopénie (chute du nombre de plaquettes causée par une consommation excessive des plaquettes) , la présence d’anti FP4 (facteur anti-plaquettaire 4) signe le mécanisme immunologique de l’agrégation des plaquettes. Ceci peut être complété par l’étude des polymorphismes génétiques favorisant les maladies thrombotiques.

La recherche de microthromboses doit être effectuée dans tous les organes par examen microscopique ainsi que la présence de cellules de type CD4+. La présence de cellules T à prédominance CD4 signera le mécanisme à médiation immunitaire de la pathologie (donc due à la réaction immunologique au vaccin).

Il faudrait demander pour les décès par myocardites la recherche d’une infiltration lymphocytaire du muscle cardiaque qui détruit les fibres et également de signes de thrombose. Il faudrait également rechercher une extravasion des globules rouges (sortie des vaisseaux, leur habitat normal), la recherche des signes de cardiomyopathie de type Taotsubo, toxique ou de stress est aussi intéressante.

Examens complémentaires pour éliminer d’autres causes du décès : l’absence d’infection virale ou bactérienne, l’absence d’historique de maladie auto-immune, de réaction allergique, d’exposition à un médicament ou un toxique permettent de relier le décès au vaccin. Remarques préliminaires Délai entre observation d’un effet indésirable et la vaccination.

Pour les vaccins classiques, le délai habituel d’observation des effets indésirables est de quelques jours, généralement entre six et huit semaines mais ceci n’a jamais été scientifiquement ni justifié, ni démontré.

Pour les vaccins ARNm fondés sur une nouvelle formulation, une nouvelle technologie et un nouveau mode d’action, les effets indésirables devraient être observés pendant une plus longue période [2]. En effet, il a été montré que l’ARNm du vaccin (ainsi que la spike produite par les vaccinés à partir de cet ARNm) persiste jusqu’à des mois dans le corps.

Il n’y a donc aucune raison de limiter dans le temps la possibilité d’imputation d’un lien de causalité entre l’injection et un effet indésirable.

Helene Banoun

Dre Nicole Delépine

Dr Gérard Delépine 

Dr Jean-Marc Sabatier

Le document a été rédigé par plusieurs médecins et scientifiques.

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À la mémoire du Pr Arne BURKHARDT, histopathologiste, décédé en 2023.
(Le protocole  -pages 36 à 42de ce document est la traduction du protocole du Dr Burkhardt)
Version du 18 juin 2023 réalisée en fonction des informations scientifiques internationales connues à ce jour.
Ont notamment contribué à la réalisation de ce document :
Me Jean-Pierre JOSEPH  Avocat au barreau de Grenoble
Me Virginie de ARAUJO-RECCHIA Avocat au barreau de Paris
Dr H. BANOUN
Dr N. DELEPINE
Dr G. DELEPINE
Dr C. ESCARGUEL (Traitements précoces)
Dr S. GAYET
Dr G. MAUDRUX
Dr JM. SABATIER, (SRA)
Ainsi que de nombreux scientifiques et cliniciens souhaitant rester anonymes.
Initiateur et coordinateur : JL DUHAMEL(Juriste/MBA/CEIPI)

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