Plaidoyer pour un nouveau 24 février du Développement durable

« Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays. » John Fitzgerald Kennedy Ancien président des Etats Unis
Résumé
Depuis 53 ans nous commémorons l’anniversaire de la deuxième indépendance de l’Algérie. 1971 a permit à l’Algérie de prendre en main son destin Très tôt les dirigeants avaient compris qu’il fallait descendre dans l’aval et s’attaquer à la création de richesses par la mise en place d’une base pétrochimique en moins de dix ans ce fut un développement tout azimut qui a permit à l’Algérie d’aller vers l’auto suffisance dans le raffinage ( près de 24 millions de tep comme capacité de raffinage mais aussi le développement de la pétrochimie Le président Boumédiène meurt en décembre 1979. Ce fut graduellement un détricotage de ce qui a été réalisé.
John F. Kennedy a inspiré les enfants et les adultes à prendre conscience de l’importance de l’action civique et du service public A qui s’adresse –ton si c’est toujours dans le même logiciel des années 2000, que nous ânonnons le satisfecit , les hommages du passé et la vision boule de cristal du marché pétrolier et gazier sachant que ces prévisions sont sujettes à tellement de paramètres qu’en définitive on se trompe toujours il n’est que de voir comment l’élection du président américain a rabattu les cartes … dans l’attente d’un nouveau retournement. Tout cela pour dire l’Algérie doit tracer son chemin d’une façon résolu pour ne pas se tenir le ventre devant les convulsions erratiques d’un baril de pétrole dont nous ne maitrisons ni les tenants ni les aboutissants ;
C’est cela que nous devons enseigner à nos jeunes et leur donner une utopie comme celle mise ne perspective pour faire de l’Algérie un fur Eldorado l’impact sur la détermination des jeunes sera limité car après la commémoration on passe à autre chose. Peut être que le moment est venu de dire aux jeunes comment vous voyez le nouveau 24 février du XXIe siècle aves des défis existentiels pour le pays. On constate d’ailleurs que nous n’arrêtons pas de vivre dans le temps béni des pionniers mais personne n’incite les jeunes à faire plus et mieux pour mériter d’être les nobles dépositaires de cette utopie qui fut une aventure humaine Nous sommes le 24 février 2025, Les défis sur la nécessité d’aller vers l’aval sont toujours d’actualité.
Quelques indications sur lemarché pétrolier qui prévalait dans les années 70
Pour rappel l’OPEP a été créée en 1960 elle avait pour ambition légitime de défendre un prix juste pour le pétrole. En face il y avait des compagnies pétrolières les fameux sette sorele pour reprendre l’expression d’Enrico Mattei le patron de l’ENI. Il s’agit des sept soeurs issues de l’empire Rockefeller (de la Standard Oil of Ohio à l’exception de Shell et de BP). L’entrée de l’Algérie au sein de l’Opep se fera en 1968 24 Février 1971, un coup d’éclair dans un ciel serein. Le fameux «Kararna Taemime El Mahroukate» lancé le 24 février par Boumédiène indiquait à la face du monde que l’Algérie avait décidé de prendre en main son destin pétrolier. Pour la première fois des pays du Sud ont pu faire plier les multinationales et leurs pays. Peu de personnes savaient que le Président Boumédiène allait annoncer la nationalisation des hydrocarbures Le 24 Février il n’y eut ni coup d’Etat externe ni arrestation ni des morts, Ce fut un coup d’Etat scientifique qui surprit les compagnies concernées. On rapporte qu’il n »y eut que peu de personnes à être au courant. Trois personnes en dehors de Boumédiène, Belaïd Abdesselam et Sid Ahmed Ghozali
Dans ces années 70 où l’Occident rechignait à restituer aux pays décolonisés, le levier du développement. Deux pays étaient aux avant-postes de ce bras de fer. Le président Boumédiène et le roi Fayçal, c’est-à-dire un petit producteur avec 1 million de barils/ et le plus gros producteur, en l’occurrence l’Arabie saoudite qui produit dix fois plus. C’était l’époque où la diplomatie pétrolière algérienne était au firmament, Belaïd Abdesselam et Zaki Yamani, les deux ministres furent les représentants de l’Opep dans une tournée européenne et américaine pour expliquer en octobre 1973 la justesse des revendications de l’Opep. Avril 1974, l’Algérie était le porte-parole des Non-Alignés porte à la tribune des Nations unies le message des pays du tiers-monde qui revendiquaient un Nouvel ordre mondial plus juste. La standing ovation faite à Boumédiène est restée dans l’histoire.
Moins d’un mois après le discours après, tout ce qu’il y avait comme matière grise fut envoyé sur le front du développement. C’est ainsi qu’une centaine d’ingénieurs de diplomés et de techniciens furent envoyés en renfort dans le Sud pétrolier, des ingénieurs furent envoyés sur le Barrage Vert, d’autres sur la Transsaharienne, d’autres enfin sur le chantier des 1000 Villages agricoles qui devaient contribuer à reconstituer le tissu social de la paysannerie, détruit par les bombardements sauvages de l’aviation coloniale.
Début 1975: Sommet des chefs d’Etat de l’OPEP au Club des Pins…le prix du baril est passé de moins de deux dollars à plus de 12 dollars. Novembre 1975: Henry Kissinger secrétaire d’Etat américain annonce à la face du monde la création de l’AIE Ce fut le début des ennuis de l’Opep. l’AIE donne instruction à la trentaine de pays de constituer des stocks de sécurité de un à trois mois, dont le but est de parer à des chocs pétroliers, Ce que font les pays chaque fois que les prix augmentent. De ce fait, en provoquant une abondance artificielle, ils perturbent le marché et les fondamentaux du pétrole sont faussés. La main invisible d’Adam Smith ne travaille pas pour la régulation du marché, mais pour manipuler les marchés au strict profit des pays producteurs. 1984 :L’Arabie saoudite voulant garantir ses parts de marché entama une guerre des prix avec la Grande-Bretagne de Thatcher qui produisit à outrance. Conséquence: les prix chutent en 1984 à moins de 10 dollars. Nicolas Sarkis avance que les pertes de l’Algérie en 1985-1989 furent de 16 milliards de dollars. Les évènements d’octobre 1988 ont été catalysés en partie par la situation économique de l’Algérie.
Depuis 1971, nous avons extrait du sous-sol près de 2 milliards de tep. Si on continue à ce rythme de production débridée, sans nouvelle découverte significative, nous en aurons pour une vingtaine d’années. De 1965 à 1978, l’Algérie a engrangé 22,5 milliards de dollars. Il y eut la création d’une trentaine d’entreprises d’envergure internationale dont la Sonatrach, la Sonelgaz et la SNVI L´essentiel de l´industrie date de cette époque. Nous sommes bien contents d´avoir une capacité de raffinage de 24,5 millions de tonnes.
A partir de la mort de Boumédiène. Nous n’avons développé que l’amont pour rendre disponible les hydrocarbures et rien de significatif dans l’aval Depuis, nous avons engrangé plus de 1000 milliards de dollars. Rente qui ne nous a pas permis de sortir du sortilège du farniente trompeur de la rente qui a donné à l’Algérien que «tout lui est dû sans effort». La descente aux enfers dura 10 ans Depuis 1999, et pendant vingt ans le redressement progressif des pris du pétrole permit à l’Algérie d’engranger près de 1000 milliards de dollars. Force est de constater que rien d’important ne fut réalisé dans l’aval . nous avons continuer à vendre du pétrole du gaz sous toutes ses formes avec une pétrochimie réduite à l’entretien difficile des unités des années 70 du siècle dernier
L’importance de l’aval dans la stratégie de Boumédiène
Pourtant toujours dans ces années 70, très tôt les dirigeants algériens avaient compris qu’il fallait descendre dans l’aval sur la base d’une étude Le Plan Valhyd et « s’attaqua à la création de richesse par la mise en place d’une base pétrochimique en moins de dix ans ce fut un développement tout azimut Comme l’écrit Sid Ahmed Ghozali qui nous a quitté récemment :
« Le 24 février 1971, le gouvernement algérien a pris des mesures de nationalisation touchant les intérêts français dans le secteur des hydrocarbures (…) il peut paraître opportun de dresser un premier bilan des résultats enregistrés par l’Algérie au terme d’une période pétrolière mouvementée : l’année 1971, qui ne manquera pas d’être retenue comme l’année où ce pays a franchi l’étape la plus décisive et la plus marquante de sa marche vers l’émancipation économique .Dans le secteur de la transformation des hydrocarbures, on peut reprendre sans crainte le point de vue d’experts internationaux qui, après leurs visites successives en Algérie, affirment que la pétrochimie n’est plus seulement un rêve mais une réalité, chaque jour plus substantielle, qui se manifeste au grand jour dans les pôles industriels d’Annaba, Skikda et Arzew ». (1)
Le développement de l’aval a permit à l’Algérie d’aller vers l’auto suffisance dans le raffinage ( près de 24 millions de tep comme capacité de raffinage) mais aussi le développement de la pétrochimie avec les complexes d’ammoniac d’urée, d’engeras phosphatés méthanol éthanol résume et le fleuron constitué par le steam cracking qui permet à l’Algérie de valoriser l’éthane ( 8%) issu de la liquéfaction du gaz nature pour produire 120.000 tonnes d’éthylènes transformés en polymères polyéthylène et PVC ; Le président Boumédiène meurt en décembre 1979. Ce fut graduellement un dé tricotage de ce qui a été réalisé. Cependant la capacité de raffinage a augmenté de quelques millions mais le deuxième steam cracking a partir du Nafta n’a pas le vu . Dans les années 2000 le steam craching aurait subi un revamping mais en définitive fut arrêté Quarante ans plus tard. La pétrochimie redémarre avec retard
L’économie de la connaissance est notre nouvelle renaissance
En 2011, l’Ocde a classé Israël le pays au niveau d’éducation le plus élevé au monde, après le Canada. (taux d’alphabétisation de 97,1% contre 40% dans les pays arabes). Alors que l’Europe y a consacré 3% de son PIB, Israël 5%, soit 2 fois plus que la moyenne des pays de l’Ocde. Israël détient le record du nombre de start-up par habitant soit une start-up pour 1844 habitants.
Idriss, Aberkane, brillant ingénieur parle avec bonheur de l’économie de la connaissance :
« Imaginez une économie dont la ressource est infinie. Si les matières premières sont finies, la connaissance est infinie. Donc si notre croissance est basée sur les matières premières, elle ne peut pas être infinie. Si elle est basée sur la connaissance, une croissance infinie est très facile à atteindre. Et c’est une bonne chose car l’économie de la connaissance recouvre la totalité du développement durable. Idriss Aberkane ajoute : « La connaissance mondiale double environ tous les 9 ans, un chiffre hallucinant qui signifie qu’en moins d’une décennie, l’humanité produit plus de connaissances nouvelles que dans les sept mille dernières années de son histoire. Car si la connaissance est le nouveau pétrole, le Knowledge Flow est le nouveau Cash Flow. « Quand on partage un bien matériel on le divise, quand on partage un bien immatériel on le multiplie (…) Aberkane illustre la « malédiction » du pétrole en comparant les exportations de la Russie et de la Corée du Sud, petit pays qui a osé expérimenter un ministère de l’économie de la connaissance : « En ne possédant qu’un tiers de la population russe et avec un territoire 171 fois plus petit, la Corée du Sud exporte davantage que la Russie .elle est forcée d’exporter de la connaissance et du savoir-faire. »(2)(3)
Comment se présente le futur?
Le monde de l’énergie est plus chaotique que jamais. Les guerres pour l’énergie vont continuer, il y aura des guerres qui seront dues au climat, des guerres de l’eau, des guerres pour la nourriture. La situation est totalement différente de 1971 où le marché était plus cohérent, sans contrainte en termes d’approvisionnement. Nous avons une population de 46 millions d’habitants, des habitudes de consommation de pays riches que l’on se permettait tant que le baril valait 100 dollars et plus. En 2014, nous avons perçu 55 milliards de dollars de rente et en 2018, 35 milliards $.
En 2020 20 milliards de dollars, il a fallu pour le gouvernement du président Tebbounne des décisions importantes pour tenir à la fois les grands équilibres et combattre le COVID19 l’Algérie se trouve devant un dilemme. Il fallait surtout préserver les grands équilibres avec pour la première fois après quarante ans d’errance, la volonté de reprendre le train du développement du pays par la création de la richesse hors hydrocarbures à la fois par le développement des énergies renouvelables Pour la première fis depuis l’indépendance investit d’un coup pour 3500 MW de solaire et les premiers kilowatts sont prévus pour cette année.
C’est une révolution et une bonne direction qu’il faut privilégier sachant que si on sait y faire, le Sahara est une véritable pile électrique qui alimentera la demande d’énergie à un prix du kWh inférieur au kWh ‘d’électricité provenant du thermique c’est à dire de la combustion du gaz naturel. Une centrale solaire de 1000 MW permet d’épargner 350 millions de mètres cubes de gaz en une année ! C’est autant de gaz que nous devons laisser comme viatique aux générations futures !! Nous sommes le 24 février 2025, Les défis sur la nécessité d’aller vers l’aval sont toujours.
Nous devons tourner le dos à la rente et nous engager sans attendre vers une transition énergétique fruit d’un modèle énergétique vers le développement durable. Les rares gouttes qui restent doivent être laissées autant que possible pour les générations futures. «Notre meilleure banque est notre sous-sol.» Imaginons que nous sommes en 2030. La population sera de 52 millions de personnes. Pour la consommation interne, en supposant un modeste développement qui nous fera passer de 1 tonne de pétrole consommée par habitant et par an à seulement 2 tonnes, c’est 100 millions de tonnes à mobiliser. Nous les aurons de moins en moins, ce qui va se ressentir d’une façon drastique sur notre rente car étant mono-exportateur. A ce rythme de gaspillage frénétique de nos ressources, l’Algérie aura épuisé sans discernement ses ressources, véritables défenses immunitaires.
Donner un sens à la transition énergétique un 24 février du développement durable
Nous avons le soleil, donc l’énergie, l’eau, le sol et une jeunesse nombreuse et capable de relever le défi en opérant de fait un nouveau premier novembre du XXIe siècle. Il s’agit de se battre pour exister dans un monde de plus en plus impitoyable. Il est nécessaire d´imaginer un modèle énergétique qui s´inscrive dans la durée, inciter d´une façon ou d´une autre les opérateurs à investir en aval et enfin de miser sur la formation des hommes et la recherche en impliquant de façon déterminante l’université algérienne. Si un cap mobilisateur qui transcende les courants, était tracé, nous aurions la conviction que nous sommes assurément dans la ligne du défunt président, par l’invention d’un 24 février indexée sur la création de richesse notamment en investissant à marche forcée sur les énergies vertes , l’hydrogène vert, l’ammoniac les matière plastique. A partir de l’hydrogène vert. Nous pouvons le faire en produisant de l’ammoniac vert qui est à fois un carburant, un combustible, une matière de base pour les engrais, et s’avère d’un maniement moins dangereux que l’hydrogène. Même le coût ne paraît pas aussi prohibitif. La production d’ammoniac et d’urée écologiques devient rentable lorsque le coût de l’électricité tombe en dessous de 30 $/MWh. Pour cela, il nous faut élaborer un Plan Marshall pour les énergies renouvelables d’au-moins 30.000 MW dans les 14 prochaines années, dont près de 20.000 MW seront consacrées à la production d’H2 vert.
Le vrai défi pour le pays, est celui de réussir la mutation de son économie en améliorant progressivement ses performances et sa compétitivité. Le développement durable permettra la création de villes nouvelles dans le Sud. Il nous faut donner des opportunités pour les jeunes en leur donnant les moyens de verdir le Sahara. Pourquoi pas un réseau ferré dans le Sud avec la disponibilité de la motorisation électrique (voitures, camions bus, rails…) C’est dire si les défis sont immenses et si des décisions courageuses qui transcendent les logiques partisanes et rentières doivent être prises ici et maintenant pour donner une chance à cette jeunesse qui ne demande qu’à donner la pleine mesure de son talent.
L’Algérie est une conquête de tous les jours, il y a toujours un avenir si on a la foi chevillée au corps. Pourquoi pas alors un nouveau 24 février de l’intelligence qui permette au pays de sortir de la de la rente, en militant inlassablement pour une Algérie du XXIe siècle qui fait sienne les conquêtes de la science Une Algérie du travail bien fait, de la sueur, comme l’ont fait ces pionniers qui disent n’avoir fait que leur devoir pour le pays.
Dans un environnement mondial de plus en plus hostile avec une mondialisation dimensionnée à la taille des plus grands, des plus forts, des plus intelligents la lutte est implacable. Des alliances se nouent, d´autres se dénouent. Quoi qu´on dise, les regards sont braqués sur l´Algérie l’étendue du pays, sa richesse en hydrocarbures et en terres agricoles, sont autant de critères de vulnérabilité. On ne laissera pas tranquille un pays de 2 387 642 km² avec sa profondeur stratégique, son potentiel énergétique, ses différents climats… son potentiel archéologique et touristique. Sid Ahmed Ghozali nous invite à regarder vers le futur.
Le futur n’est plus seulement dans l’amont, mais de plus en plus en aval, le développement des énergies renouvelables à une cadence soutenue d’au moins 2000 MW/an et un développement de la pétrochimie Ainsi ; La nouvelle indépendance constitue un vrai challenge : disposer de 50% d’énergie renouvelable et d’économie d’énergie d’ici à 2035. C’est cela la vision de ce que sera 2030-2050 ! C’est cela ce que devrait être le 24 février de l’Algérie Nouvelle Pour être fidèles aux pionniers qui ont porté les espérances de l’Algérie, nous devons quotidiennement redoubler d’efforts, tout en réussissant à faire naître chez nos jeunes ce feu sacré qui fut le moteur du développement de l’Algérie.
Je m’inscris en faux sur cette façon de faire de l’héritage du siècle dernier . Il faut inculquer pédagogiquement le nouveau monde les nouveaux défis. Sinon une fois de plus ce sera une commémoration sans épaisseur et sans lendemain alors que nous devons être mobilisés par le savoir qui est la meilleure défense immunitaire Nous devons faire revivre cet enthousiasme d’entreprendre, ce précieux héritage qu’il nous incombe de transmettre à nos forces vives, en faisant preuve d’une grande force de conviction pour leur inculquer le futur et ses défis , en donnant l’exemple, en étant comptables de ce que nous faisons auprès de tous, et surtout en insufflant à la jeunesse algérienne la volonté de réussir.
Laissons-à nos jeunes une Algérie en ordre de marche. En déployant des trésors d’imagination à chaque instant, nous aboutirons ainsi, au bout d’un long processus et de nuits blanches, à une Algérie fascinée par le Savoir. Une Algérie où tout est possible par l’effort et la détermination et qui gagne par la création de richesses. Une Algérie qui mérite amplement d’être un pays émergent, respectable et respecté, enfin, libéré de la malédiction de la rente et qui invente un 24 février de l’Algérie Nouvelle et du Développement durable.
Prof. Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique (1925- 1965-2025)
Notes :
1.Sid-Ahmed Ghozali https://www.monde-diplomatique.fr/1972/01/GHOZALI/30727
2 http://www.huffingtonpost.fr/idriss-j-aberkane/economie-de-la-connaissance_ b_5443212.html
3.Idriss J. Aberkane La connaissance, le désir et la compétence Le Monde le 29 mai 2015.
Article de référence : Chems Eddine Chitour https://www.elmoudjahid.dz/fr/dossier/pour-un-nouveau-24-fevrier-du-developpement-durable-le-plaidoyer-d-un-polytechnicien-231225