La première quinzaine de ce mois de novembre 2017 est marquée par des événements à impact mondial. Sans classement ordinal, la nomination du nouveau dirigeant de la réserve fédérale des USA, la crise asiatique dont le foyer matériel et non le causal est la Corée du Nord, et dans l’Union européenne, « l’indépendance » de la Catalogne et son « annulation » en sont les majeurs.
Pour le premier événement, en plus du complexe assainissement du bilan de la FED, de la recherche de l’inflation et du déplombage des taux d’intérêt, et avec le profil de juriste-avocat de Jerome Powell, c’est la pression sur le FMI qui se filigrane pour probablement relancer le Plan Meltzer [1] sur le fonctionnement et rôle de cette institution avec un esthétisme sur la faillite des États suggérée par Anne Krueger [2]. Si cette perspective se met en place et puisque l’ONU est incapable de les mettre sous sa curatelle, les pays sous-développés seront mis sous tutelle par les puissances. Pour atteindre cette fin, leurs problématiques identitaires en seront un canal.
Dans le point 5 de son projet de résolution d’octobre 2017, sous « réaffirmation », il est écrit :
« [Q]u’il ne saurait y avoir de développement durable sans paix et sans sécurité et que sans développement durable, la paix et la sécurité sont en danger, et considère que la culture peut contribuer au développement durable en ce qu’elle est un outil précieux permettant aux communautés de participer pleinement à la vie sociale et culturelle, favorisant une gouvernance et un dialogue sans exclusive aux niveaux national, régional et international et contribuant à la prévention et au règlement des conflits ainsi qu’à la réconciliation et au relèvement. [3]
Pour le deuxième, la conférence [4] du professeur émérite en économie, Michel Chossudovsky a modifié notre grille d’analyse. En exposant le processus historique et en particulier depuis la présidence de Harry Truman, les enjeux de domination militaire avec la modification de la classification des bombes atomiques qui donne la possibilité à un général américain de s’en passer de l’autorisation du président des USA pour en faire usage nous oblige à réduire le développement de cet événement. Durant notre présence, l’aspect identitaire du même peuple qui vit sous deux régimes politiques différents et son impact sur l’issue du conflit a été absent dans les mots du professeur M. Chussodovsky [b], directeur général du Centre de recherche sur la mondialisation (Ottawa, Canada).
Pour le troisième, l’ « indépendance » de la Catalogne et son « annulation, le départ de son président dans la capitale même de l’Union européenne qui est aussi celle d’un État secoué par le problème identitaire et en dépit de la présence de tous les mécanismes démocratiques et institutionnels, ouvre la voie à l’intervention des décideurs de l’ombre qui imposeront une solution en fonction de leurs intérêts qui seront difficiles à concilier avec l’histoire de l’Espagne, ses royaumes, ses dictatures et démocraties qui s’inscrivent dans une mouvance néo-nationaliste pan-européenne [c] .
En France, la question du franc CFA commence à prendre de l’ampleur. Une ancienne ministre « préconise la délocalisation de son impression et le changement de nom. » [5] Cette déclaration politicienne pour son aspect interne à la France est lourde pour les projets de visites des pays africains du président de la France et risque d’être très mouvementée en Algérie s’il s’y rend.
En Afrique du Nord et Algérie en particulier
Si le FMI et la Banque mondiale continuent à faire la météorologie très changeante du croissantisme dans cette région ; les représentants coptés et non élus à l’ONU de l’Algérie et du Maroc continuent à s’échanger des attaques bilatérales. Si elles sont d’un usage ordinaire, elles cachent mal les problèmes de fond que ces représentants veulent éviter et parmi eux la question de l’identité des peuples de la région.
Même si l’État algérien est conscient que ses déclarations et prises de position officielles sont insignifiantes dans l’espace mondial, d’après certains journaux algériens, il s’est empressé de se prononcer sur le maintien de « l’intégrité et l’unité de l’Espagne ». Cette déclaration est plus un avertissement ferme pour les Algériens qui réclament des indépendances pour certains et des autonomies pour d’autres.
En Algérie, la Révolution escamotée
La célébration du 62ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale est passée inaperçue dans la capitale. Les médias algériens n’ont pas rapporté un tel souvenir au sein de l’Assemblée populaire nationale, laquelle est issue d’une constitution bâtarde. Il est difficile pour un État affaibli par les pressions françaises et ses « élus » d’entonner le monolingue hymne national qui contient ce tercet [6] :

Le pays atteint de mandevillisme [a] économique, dans un agenda marqué par les élections communales, une campagne électorale qui ressert les mêmes rengaines et des discussions de lois en catimini alors que les textes d’application sont déjà prêts parce qu’imposés par le supranationalisme ; parlant des lois sur le travail et la santé, la députée Louisa Hanoune a fait des déclarations ravageuses : « Nous rejetons catégoriquement ces deux projets destructeurs » [7] et « machine qui détruit tous les acquis de l’indépendance et par conséquent de la guerre de libération » [8]. Dans un autre journal, il est rapporté qu’elle a qualifié le projet de loi sur la santé de « criminel ».
Sachant que le pouvoir algérien est très réactif à certains mots, son silence montre le peu de valeur accordé à ces déclarations. Les journaux n’ont pas mentionné les arguments de cette députée qui siège depuis longtemps dans l’Assemble qui lui ont permis de qualifier ce projet de loi de « criminel ». A-t-elle été influencée par certaines de ses lectures ?
En pensant qu’ils ont identiques à ceux du Maroc, les contours de la problématique identitaire en Algérie étant posés, ci-après, la lettre intégrale adressée à la présidence de la république lors des dernières élections et dans laquelle cette députée est désignée par « Madame la présidente ».
Le choc identitaire en Algérie et la solution refusée
Boris Cyrulink : « Les dictateurs qui pensent qu’on doit se soumettre intégralement à leurs théories n’ont pas le sens de l’humour. Dans une telle relation, la connivence affective s’établit entre ceux qui rient de la même histoire parce qu’elle agresse ceux qui n’en rient pas. À Ljubljana, quand je me suis de voir des bustes de Napoléon aux carrefours et dans les jardins, la traductrice qui m’accompagnait m’a expliqué que les Slovènes le vénéraient parce qu’il avait préservé leur langue. » [10].
Ci-dessous le texte de la lettre envoyée à la présidence de la République algérienne laquelle a été suivie d’une relance [11] en invitant des figures politiques, militaires, culturelles et artistiques à un challenge pour une solution pérenne.
Montréal, le 12 avril 2014
Objet : Officialisation de tamazight
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
À la rédaction de cette lettre, une candidate et des candidats se sont engagés pour l’élection à la plus haute charge de l’État. Par l’incertitude sur le choix qui sera fait par les électeurs, la formule : « Madame la Présidente ou Monsieur le Président » devient impérative.
Après une période électorale et préélectorale animée, le 18 avril 2014, les Algériens vous auront élue ou élu. Sera exécuté le protocole de l’officialisation de votre succès en vous confiant la gestion des affaires de notre pays incarné par l’État que vous représenterez désormais. Que la paix et la sagesse soient les facteurs qui guideront les actions de ceux qui ont les droits, le bien-être et la prospérité des Algériens comme objectifs.
Passé les délais indispensables pour votre prise de fonction, serait probablement passée aussi la commémoration de l’un des événements les plus marquants de l’Algérie indépendante, le Printemps berbère ou Événements d’avril 80, une période d’éveil, une période de douleurs aussi.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
L’Algérie est ma patrie. Si elle est vivante, elle l’est par la grâce d’une âme que j’aime. À celle-ci, il manque un attribut existentiel : une identité pleine et entière. Afin de mettre un terme à ce déni, je vous prie humblement et solennellement d’user, dans des délais relevant de ce qui est appelé les « Cent premiers jours », de vos attributions constitutionnelles en :
- Décrétant par ordonnance présidentielle l’officialisation de la langue tamazight;
- Initiant un processus de reconnaissance par l’État national des préjudices causés à tous les Algériennes et Algériens ayant sacrifié leur vie, leur famille pour notre identité;
- Lançant un chantier national pour la généralisation et le développement de l’enseignement et diffusion de tamazight;
- Ordonnant une autorisation de programme ad hoc pluriannuelle pour les financements nécessaires. Son contrôle par l’Assemblée et des comités citoyens et populaires sera un instrument garant de son effectivité;
- Imposant une initiative à doter la République algérienne d’un hymne national bilingue exécuté en tamazight et arabe.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
Les cinq actions énumérées ci-dessus décrivent un ensemble intégré qui éloignera l’État des processus parcellaires que les joutes politiciennes ne feront qu’exploiter pour exacerber des tensions. Il participe à la transformation du déni de notre identité en un processus positif pour les peuples que cette terre et région ont portés. Il ne s’agit point d’une revendication, car une telle approche serait une agression supplémentaire à une anthropologie, à une ethnologie que même huit mille ans n’ont pas réussi à dissoudre. Ceci vaut pour l’éthique de la conviction, laquelle est renforcée par la certitude qu’un bon nombre de nos compatriotes la partage et pour preuve l’ensemble des actions initiées, des écrits produits et des déclarations tant politiques que citoyennes allant dans le sens de l’officialisation de tamazight.
Quant à la faisabilité de ces actions, leur ordre dénote la modération. Si des exemples doivent être donnés, ils ne seront qu’africains : l’Afrique du Sud, ses langues officielles et son hymne national en cinq langues officielles est parfait.
La reconnaissance constitutionnelle du caractère national de tamazight en 2003 est une preuve suffisante pour affirmer que l’État a commis des injustices en torturant et condamnant à différentes peines certains de nos compatriotes qui ont proclamé que leurs identité et langue sont amazighes.
La généralisation de la langue amazighe est débattue davantage pour ses bilans négatifs que positifs. Un processus managérial conforme aux standards et exigences du 21e siècle avec reddition publique de compte est indispensable.
Un mode de financement exceptionnel est souhaitable, car il s’agit d’une action fondatrice d’un nouvel État qui ne peut se réaliser au moyen d’un instrument ordinaire : une Loi des finances annuelle. Les exigences de transparence et de participation du Peuple en sont une raison supplémentaire.
Une initiative pour un hymne national salvateur relève du courage patriotique d’abord, politique ensuite et ce sera l’action qui remettra l’Algérie dans la liste des pays qui osent. Je conviens avec vous que c’est un défi pour trouver l’unanimité nécessaire. Une liberté d’expression pour des débats publics ou une coercition référendaire sur tous les Algériens seraient des voies à emprunter.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
Modestement et succinctement suit une énumération des effets et conséquences des actions proposées pour l’Algérie du futur. Ils sont un condensé d’un très et très modeste travail sur les impacts économiques de l’officialisation de tamazight en Algérie fait par l’auteur de cette présente.
Dans les aspects nationaux
- Populaire et social : le peuple Algérien et l’Algérie auront un ciment additionnel, une nouvelle vie avec une identité et langue qui contribueront à faire reculer le racisme, détruire le mur linguistique entre les futures générations d’hommes et de femmes de toutes les régions de notre patrie. Le mariage ou une union d’amour ne buteront plus sur l’obstacle de langues non partagées. La reconstruction des liens entre les enfants, les grands-parents et arrières grands-parents rompus pour cause de tamazight et d’arabe sera plus aisée à réaliser;
- Juridique et judiciaire : tamazight sera un moyen supplémentaire pour produire des lois et législations conformes à notre anthropologie et histoire, de rendre la justice plus équitable et redonner une respectabilité aux enceintes et espaces qui lui sont dédiés;
- Essor humain : l’identité amazighe sera un socle pour un développement qualitatif de la ressource humaine nationale. Elle dotera tous les Algériens là où ils vivent d’une capacité augmentée;
- Développement durable : en officialisant tamazight, notre pays, l’État algérien intégrera une dimension prônée dans des études et protocoles, promue par des institutions tant intergouvernementales que non gouvernementales internationales. Tamazight est et sera un facteur prépondérant dans le futur enjeu mondial que sont les stocks de biens publics naturels et environnementaux. Ces stocks sont appelés à être comptabilisés dans une nouvelle unité qui inclura le rapport des Algériens à la nature. Pour preuve, dans les énergies fossiles, c’est le coût de reproduction et non de production qui est devenu l’enjeu central ;
- Économique : en plus de la production stricto sensu, une identité pleine entière acceptera aisément l’apprentissage d’une nouvelle langue internationale qu’elle devienne nationale et officielle ou non.
Dans le domaine des Relations internationales
Lors du dernier Examen périodique universel de l’Algérie au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, notre pays a été formellement sanctionné sur instigation de pays considérés comme amis dans les cérémonies officielles ou rencontres internationales. En reconnaissant tamazight, identité et langue, notre patrie ne subira plus ces humiliations et ne sera plus sous l’emprise du chantage aux droits humains, à la coopération ou à l’économique.
Aussi en mettant un terme à ce déni, notre pays, sera un exemple pour les autres où tamazight pourrait redevenir officiel. Des pays dits du Sahel ou de l’Afrique de l’Ouest comme le Niger et le Burkina Faso ont déjà lancé des programmes d’action pour intégrer les dialectes amazighs comme le tamachaght dans leurs cycles d’éducation nationaux.
Dans le domaine de la Coopération internationale
En nous répétant, les conjonctures internationales sont troubles. Notre pays a, par le passé, intégré et agit dans des espaces et forums internationaux. En officialisant tamazight dans sa double dimension identité et langue, l’Algérie se dotera d’un instrument moralement noble, politiquement utile dans son action en coopération internationale avec d’abord les pays voisins et les autres ensuite.
Des théories et études montrent que l’identité, les langues et les cultures sont devenues des facteurs de paix, de développement, de promotion des échanges et d’équilibre dans les jeux et enjeux de puissance.
Pour la paix sur notre terre d’Algérie
D’autres théories visant à partitionner des pays sur des bases ethniques, linguistiques et religieuses sont opérationnelles. Leurs promoteurs les exécutent pour s’assurer des positions hégémoniques et des gains économiques. Pour cette fin, ils les fragmentent et comme exemples : le Soudan et le Soudan du Sud, la Libye est candidate, l’Algérie n’est pas épargnée.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
Les conjonctures nationale, régionale et internationale avec ces guerres pour l’accaparement des ressources naturelles et des terres rares en particulier, les guerres entre les monnaies, les conflits liés à l’eau et au maintien des dépendances alimentaires risquent d’être une calamité. L’Algérie, notre patrie, est dans ces tourbillons et dans une position très vulnérable. Telles sont les conjonctures dans lesquelles vous exercerez vos fonctions. La cessation de cette négation sera un catalyseur interne qui vous permettra d’y opérer avec plus de sérénité, de confiance car derrière vous il y aura, tout simplement, un peuple heureux et un foyer qui pansera ses lacérations.
Aussi, avons-nous jugé de le dire, de l’écrire : vos conseillers, le(s) gouvernement(s) qui exécuteront vos instructions et directives, les experts nationaux et étrangers que vous solliciterez, les institutions internationales vous assailliront avec les chiffres mesurant les performances de notre pays. Trivialement formulé : ces chiffres ne sont ni justes, ni erronés; ni vrais, ni faux.
En abordant la façade numérique de notre pays, c’est notre lucidité sur la complexité de la situation nationale que les partisans de la croissance à n’importe quel prix et les malthusiens de l’énergie, sans honte, vous décriront avec des chiffres sans une once de crédit.
Mettre un terme à un déni identitaire et linguistique leur sera une excellente réponse, en partie. La fin de ce déni, en plus de participer à assoir la paix et éloigner quelques hyènes, pas toutes, de notre terre, est aussi l’action la moins onéreuse, la plus rapide et la plus simple à mettre en œuvre, économiquement la plus rentable que vous pourrez conduire.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
Des Algériens sages, des Algériens amoureux de la patrie et à très haut niveau de compétences vivent dans une multitude de contrées de cette planète. Pour diverses raisons, certains ne seront pas disposés à agir. D’autres le feront. La clairvoyance de l’État serait de reconnaitre la faiblesse de notre développement et de la dire aux Algériens. L’État algérien serait aussi clairvoyant en faisant appel aux compétences algériennes et étrangères agissant dans les espaces anglo-saxons réputés pour leur pragmatisme, dans la définition des bonnes actions à entreprendre et à mesurer leur efficience.
Organiser des événements, regroupements et séminaires productifs dans les espaces géographiques nationaux ignorés par le passé comme le Sud, l’Est serait une disposition sage qui grandirait la démarche et réduirait les volumes des fanfaronnades et dépenses somptuaires publiques. Fusionner le peuple algérien avec les intervenants dans cette Révolution identitaire, linguistique et culturelle nationale serait un enthousiaste cadre de travail et de progression.
Madame la Présidente ou Monsieur le Président,
Je vous prie de croire en mes salutations patriotiques.
Signature
Par voie électronique, une copie de cette lettre sera envoyée à des journaux algériens le 15 avril 2014.
Avant cette date, seront destinataires par les moyens idoines des Algériens que nous respectons, des Algériens que nous aimons, des institutions et qui sont:
- Hocine Ait Ahmed, révolutionnaire (*);
- Souheil Mehri (*);
- Fondation Matoub Lounes;
- Fondation Mohammed Arkoun;
- Mouloud Hamrouche, homme politique (*);
- Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme;
- Abdelhak Mellah, magistrat;
- Selim, éditorialiste;
- Omar Benderra, économiste et financier;
- Noureddine Ahmine, avocat;
- Hocine Zahouane, avocat (*);
- Nacereddine Lezzar, avocat (*);
- Mme Veuve Boudoukha Ali Bey;
- Ihsane El Kadi; journaliste;
- Famille de Mustapha Bacha (*);
- Famille de Madjid (Kamel) Amzal (*);
- Famille de Salah Boukrif (*);
- El-Mahdi Acherchour, écrivain;
- Nordine Azzouz, journaliste;
- Yassine Temlali, journaliste;
- Mahmoud Rechidi, homme politique (*);
- Abdelatif Bounab, homme de culture;
- Brahim Hadj Slimane, journaliste, homme de culture (*);
- Daho Djerbal, historien;
- Smail Goumeziane, professeur d’université (*).
(*) Pour cause d’indisponibilité d’adresses de contact, les destinataires indiqués par l’étoile seront informés par les amis de l’auteur de cette lettre.
Cherif Aissat
Notes
[a]. Bernard de Mandeville (1670, 1733) est un philosophe et économiste hollandais. Il est l’auteur de la Fable des abeilles dans laquelle il explique le bienfait de certains vices sur l’économie. Voir La fable des abeilles ou Les vices privés font les vertus publiques. http://www.institutcoppet.org/wp-content/uploads/2011/01/La-fable-des-abeilles.pdf
[b] Le professeur émérite Michel Chossudovsky. Il est l’auteur d’une série d’ouvrages vivement recommandés.
[c] La crise espagnole révélera les autres failles du TFUE (Traité de fonctionnement de l’Union européenne). Si une récession de la Catalogne se déclenche, la monnaie unique, l’euro, risque de connaitre une autre crise et dans une telle situation, le Titip (Transatlantic Trade and Investment Partnership) sera touché.
Sources d’informations.
[1] COMMITTEE ON FOREIGN RELATIONS UNITED STATES SENATE. THE MELTZER COMMISSION: THE FUTURE OF THE IMF AND WORLD BANK. https://www.gpo.gov/fdsys/pkg/CHRG-106shrg66721/pdf/CHRG-106shrg66721.pdf
[2] Journal of Economic Perspectives — Volume 4, Number 3 — Summer 1990 — Pages 9–23. Anne O. Krueger. Government Failures in Development. http://pubs.aeaweb.org/doi/pdfplus/10.1257/jep.4.3.9
[3] ONU. Soixante-douzième session Deuxième Commission Point 21 c) de l’ordre du jour Mondialisation et interdépendance : culture et développement durable https://documents-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/LTD/N17/315/66/PDF/N1731566.pdf?OpenElement (consulté le 5/11/2017).
[4] Observatoire de l’Asie de l’Est. Conférence de Michel Chossudovsky. La Corée : Mise en œuvre d’un Projet de Paix. https://www.mondialisation.ca/conference-de-michel-chossudovsky-la-coree-mise-en-oeuvre-dun-projet-de-paix/5612035
[5] Agence Ecofin. Franc CFA : Rachida Dati préconise la délocalisation de son impression et le changement de nom. https://www.agenceecofin.com/reformes/3110-51668-franc-cfa-rachida-dati-preconise-la-delocalisation-de-son-impression-et-le-changement-de-nom
[6] Présidence de la République. Les symboles de l’État. http://www.el-mouradia.dz/francais/symbole/hymne/symbolefr.htm.
[7] Algerie1.Com. Louisa Hanoune : le code du travail et le projet de loi sur la santé sont un « grand danger ». https://www.algerie1.com/actualite/louisa-hanoune-le-code-du-travail-et-le-projet-de-loi-sur-la-sante
[8] Id.
[9] Tout sur l’Algérie. Carnet de Campagne 3 : « Il faut faire comme le Japon … » https://www.tsa-algerie.com/carnet-de-campagne-3-il-faut-faire-comme-le-japon/
[10] Cyrulnik, Boris. Autobiographie d’un épouvantail. Odile Jacob. Paris. 2010. pp. 67-68.
[11] Aissat, Chérif. Initiative pour un hymne national bilingue. Appel à un challenge, à un défi. http://ksari.com/index.php/nouvelles/n-point-de-vue/3479-initiative-pour-un-hymne-national-bilingue-appel-a-un-challenge-a-un-defi.
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